Encore une fois Mike pris la parole:

"Alexandre... je sais que Springtrap et fort désagréable et dangereux, mais lorsqu'on connais son histoire, il a pour ainsi dire des circonstances atténuantes... il n'a pas choisit de devenir ce qu'il est et il déteste par dessus tout être le sujet principale de l'attraction d'horreur."

Mouais, la pitié pour le moment il ne l'avait pas en lui, c'était pas un truc qu'il connaissait très bien. La compassion encore moins, surtout quand le sujet avait bien faillis lui faire faire une crise cardiaque.

"et est-ce qu'a l'avenir, vous pourriez surveiller votre langage ? la vulgarité ne fera pas avancer les choses..."

Il plongea ses yeux dans ceux de Mike, cela brillant de froideur. Va te faire foutre.

"Tant que tu y est tu veux que je change de sexe aussi?"

La fille s'approcha et lui tandis une peluche.

"Tu vois ça ? C'était "Springtrap" avant. Ne l'insulte pas, merci."

Il regarda ailleurs.

"Ok, ok faites pas chier, je vais le laisser tranquille."

Ou pas. Il n'avait pas de respect envers ce qui n'en avait aucun pour lui. C'était probablement pour ça qu'il ne respectait personne. Enfin, bref. Son sarcasme avait l'air de les irrité...Too bad. Ils devraient apprendre à faire avec, bordel il le savait déjà, il n'aurait que des ennemis ici. Et à qui la faute? A lui, à sa putain de fierté, à son caractère de merde et à son incroyable incapacité à être agréable. Et ça, il le savait très bien. C'était pour ça qu'il ne s'en plaignait pas et qu'il ne s'en plainerait jamais.

Alexandre n'écouta que d'une oreille ce que disait Mike. Pearl semblait vexé et il n'en avait pas grand chose à faire. En fait Alexandre ne mesurait pas bien le poids de ses mots et ne se rendait souvent pas compte qu'il pouvaient blessé quelqu'un toute fois, parfois il en avait parfaitement l'attention. En fait, Alexandre était prévisible et imprévisible en même temps. On savait comment il allait répondre, mais jamais quoi. Un magnifique blanc s'installa dans la pièce. Silence, putain fuck yes. Il se contenta d'observer les deux autres. Pearl avait les yeux vairons, chose particulièrement rare chez les êtres humains. C'était une Neko, il y en avait pas d'autre dans la pizzeria de ce qu'il es vue. Elle était certainement plus jeune que lui, mentalement comme physiquement d'ailleurs.

Bon Mike il le connaissait déjà. Toujours est-il que tout les deux était plus grand que lui, mais ça, ça ne changeait pas c'était toujours comme ça et il devrait s'y faire. (Comment ça je savais pas quoi répondre? XD)

"Alexandre... si tu ne te montre pas plus aimable, tu ne pourra jamais t’intégrer a l'équipe, hors, vu la situation et les dangers que représente notre poste, on dois au contraire rester soudé et se serrer les coudes... tu ne t'en rend peut être pas compte, mais les mots peuvent blessés, l'agressivité aussi. je te conseille d'y faire attention a l'avenir... d'accord ?"

Agressif, je ne l'était pas. C'était juste eux qui se vexait pour rien et prenait tout au sérieux. Et puis de toute manière j'avais était élevé dans ça, l'agressivité, la violence. Au final nous sommes comme des chiens. Certains connaîtrons la douceur et en seront adorable, d'autre subiront des tortures et ne pourront plus que mordre et tuer. Au final, c'était peu-être ce que j'était. Le seul boulots que h'avais fait dans ma vie m'avait amener à tuer des gens, il avait fait de moi un meurtrier...Pour ce qu'ils appellent la bonne cause. J'avais du sang sur les mains, du sang don je ne voulait pas. Bref, l'armée, c'est la merde. Faire partie d'une équipe? l'intégré? Me faire des amis? Tsk! Ce serait la pire des choses. Si j'était si désagréable et froid c'était pas pour rien. C'était juste qu'au fond j'avais peur de m'attacher et de souffrir encore. Je me suis attaché à deux personnes dans ma vie. Elles sont mortes. Mon chien et mon pote...Et ma mère, mais ça c'est spéciale, et puis elle est encore en vie bien que je ne souhaite jamais la revoir. Paradoxe? Oui, comment pouvons expliquer qu'on aime la personne qui nous as battu toute notre vie? Je ne sait pas, du masochisme.

"J'ai jamais dit que je comptait m'intégrer, je suis pas bon pour le travail d'équipe."

Toute ma vie je n'avait marchait qu'aux ordres et au bâton. Tout ce qu'il me fallait c'était une menace suffisante et des ordres. Hors j'avais déjà les deux. Faire mon boulot, survivre.

"ne sois pas triste. tu as très bien fait de défendre Springtrap... enfin, Spring Bonnie je veux dire tout a l'heur. des que je peux, je le défend moi aussi... et tu as une très jolie peluche de lui, tu as l'air de beaucoup y tenir
- C'est ma mère qui me l'a offert. Elle est morte quand j'étais petite, et sous mes yeux."

Ah. Je me demandait ce qui se serait passer si sa mère était morte. Peu-être que ça aurait était mieux, ça aurait était certainement beaucoup mieux que de se faire casser la gueule H24...Je m'en serait peu-être mieux sortit, Je n'aurait certainement pas était le même homme qu'aujourd'hui. L'Inconscience et l'innocence, c'est tout ce qui m'aurait fallut. Mais il la plaignait quand même, si elle y tenait, ça avait du être dur pour elle.

"je suis désolé de t'avoir rappeler des souvenirs comme celui la. je comprends que tu ne veuille pas en parler."

Il se tourna vers moi.

"personne ne te forcera pas a travailler en équipe si cela ne te conviens pas, mais ne t'étonne pas si tu te fait remettre en place si tu dépasse les limites... enfin, c'est toi que ça regarde, je ne suis pas ton supérieur et je ne fais que te conseiller
-N'empêche lui, il a quand même cassé mon jeu, je m'amusai bien moi."

Putain si seulement quelqu'un savait ce qui se passait dans ma tête. Mais ça n'arriverait jamais, car personne ne chercherait à me comprendre et jamais je ne me confierait à quelqu'un. Je ne l'ai jamais fait, je ne le ferait jamais, trop de risques. Mais qui était-je pour me plaindre d'être incompris, c'était ce que je voulais. Je voulais qu'on me vois comme un connard sans sentiments qui s'en fou des gens. Je voulais qu'on me rejette comme la peste, qu'on ne me parle pas. Et regardez, j'avais réussis...Alors pourquoi, pourquoi es que j'en était pas heureux? Ça n'avait aucun sens, ou peu-être que je ne voulait juste pas l'admettre. Mon visage s'était assombris un instant avant que je réponde.

"Oh c'est bon, j'me casse."

C'était ce qu'il voulait, seul problème il ne pouvait pas se casser, il connaissait pas le chemin. Tant pis il se contenta de s'isoler contre un mur en croissant les bras. Case départ.