Ils zoig-zaguèrent à travers le labyrinthe de salles. Quand enfin ils furent arrivés dans la pizzeria respective du jeune homme Mike lança un coup d'oeil aux caméras.

"Springtrap ? mais qu'est-ce qu'il fabrique ? Alexandre... je suis très mal placé pour te donner des ordres, mais la c'est ce qu'on pourrait appeler une "affaire diplomatique", alors tu viens si tu veux, mais s'il te plait, tu me laisse lui parler, d'accord ? pendant ce temps, essais d'écarter tout risque d'incendie et coupe aussi le gaz, on ne sais jamais... je te remercie. "

Quoi? Pas question que ce vieux con y aille seul avec l'autre taré! Il refusait qu'une autre personne crève de manière inutile. Toute fois, il ne se posa pas de question et se jetta dans la pièce voisine pour couper le gaz. Puis à toute allure il se dirigea vers la direction que Mike avait pris, il y alla à l'aveugle, ne suivant qu'un instinct primitif, mélange entre crainte et adrénaline. Il entendit un bruit qui lui fit bifurquer dans un des couloirs. Il se stoppa net une seconde quand il aperçus Springtrap la hache lever vers pearl. Pas une hésitation. Il n'était pas question que d'autres personnes crève devant ses yeux, s'il avait quitter l'armée c'était pour ne plus jamais tuer, pour ne plus jamais voir de gens se faire tuer. L'information n'eu qu'à peine le temps de monter à son cerveau qu'il se jetta entre les deux. Il vit la ferraile foncer vers lui, il n'eu le temps que de se décaler légèrement. De toute façons c'était sois pearl soit lui. Et il était sur qu'il encaisserait le coup bien mieux qu'elle et puis au pire, lui personne ne pleurerait pour sa mort. Pearl devait certainement avoir une famille, des gens qui attendait son retour, pas lui. Alors qu'il ne revienne pas, peu importe. La lame fendit sa chaire. Il sentit un liquide chaud gigcler de celle-ci. La douleurs terassa son épaule droite. Un instant tout sembla passer au ralentit puis aussitôt, projetter par la force du coup il vint s'écraser contre le mur. Il tomba par terre. Une autre vague de douleurs envahit à nouveau son corps. Il plaça vivement sa main sur son épaule en laissant échapper un grognement rauque de douleurs. Il sentit le sang deferlé sur celle-ci, et quand il la regarda il compris en effet qu'il pissait le sang. Il se redressa comme il put à l'aide du mur, le visage crispé par la douleurs.

"Merde..."

Grogna t-il d'une voix étouffer par cette sensation atroce qui brûlait sa chair. Le sol comme ses habits se tachait maintenant d'écarlate.

"Lâche les sale fils de pute."

Une voix lointaine et proche à la fois lui parvenue. Il sentit alors quelque chose se déposer et serrer sa plaie, il serra les poings en laissant échapper un grognement de douleur. Son épaule et ses côtes, il ne sentait qu'une horrible douleurs. Il vit Mike, il vit le lapin, il entendit des cris de la pars de celui-ci, mais trop flou pour qu'il puisse les comprendres. Bordel, c'était de sa faute, si il s'était pas paumer comme un con tout ce bordel serait pas arriver. Il s'en voulait affreusement, qu'il était con putain. Ses jambes avaient du mal à soutenir son poids, il tenait fermement le bandage de fortune, agrippant par ailleurs sa chair avec. L'adrénaline, elle circulait dans son corps comme une drogue. Son instinct lui ordonnait d'agir, ces pulsions primitives semblables à toute être vivants semblait même prendre le contrôle. Il se sentait prêt à arracher la gueule de l'animatronic, chose bien sur impossible, mais croyais moi, un cocktail de peur, de douleurs, de rage et d'adrénaline vous fait croire et faire des choses dingues. Protéger, protéger. C'est tout ce qui venant à sa tête, c'était l'objectif que s'était fixer son cerveau, et il y était coincé, protéger qui? Quoi? Comment? Pourquoi, il n'en savait rien, il ne savait plus, il fallait juste protéger. Vous savez quand des doses d'adrénline déferlent dans votre sang vos acte son prisonnier de la volonter que vous aviez au moment ou cette "drogue" s'est relacher. Si vous vous battiez, et bien vous alliez vous battrent en ignorant la douleurs, les cri, les gens, vous oublirez la raison même du combat vous devrez gagner. Vous vouilliez tuer? Tout ce qui reviendra en votre tête sera: tuer, tuer, tuer, tuer. Vous oublierez quel est la personne qui vous fait face et vous ne regagnerez vos esprit que quand l'un de vous deux est trouver la mort. De même pour la fuite, vous allez courir jusqu'au moment ou vous tomberez par terre. Ici c'était de même: proteger, proteger. Quoi? Ces deux personnes. De qui? De l'animatronic. Pourquoi? On s'en fou. Comment? On s'en fou. Voilà à peu prêt ce qui se passait dans sa tête. Voilà pourquoi il est souvent arriver de donner des doses d'adrénaline aux soldats. Ils ne pense plus a rien si ce n'est que leur mission principale. Alors titubant, et ignorant ce qu'on devait certainement lui dire il s'approcha pour se mettre à côté de Mike.

Le monde tournait autour de lui, il ne comprenait plus rien. Enfin si, mais pas les paroles des autres. Tout ce qu'il vit c'est Mike se jeter sur le lapin. Alors il suivit le mouvement, pas question de regarder inutilement la scène. Mais ce qui devait arriver arriva, c'était évident. Il se retrouva à nouveau au sol et laissa échapper un cri de douleurs quand il sentit sa côte remuer étrangement sous le choc de la chute. La main sur l'épaule il observa son sang tâché le sol un instant. Quand le monde autour de lui fut assez net pour qu'il y vois quelque chose Alexandre observa Pearl face à l'animal. Il tenta de se lever, en vain. Ses forces était drainer une par une au fur et a mesure que son liquide vitale tomber sur le sol. C'était pas maintenant qu'il allait crevé? Si? Ce serait une mort pas si terrible que ça au finale. Au moins il aurait servis à quelque chose et...Non, il refusait d'abandonner pour si peu, il devait tenir, toujours plus et encore. C'était marrant car vu le dépressif qu'il était il se disait toujours que ce serait peu-être mieux qu'il crève vite. Mais là c'était un instinct animale qui lui hurlait de tout faire pour survivre. Il n'entendait plus grand chose si ce n'était que sa propre respiration, le bruit glauque du sang s'échappant de sa plaie et avait l'impression que de sentir seulement la souffrance atroce qui lui infliger son épaule et ses côtes. Mais il tenait bon, il refusait de tourner de l’œil, c'était trop dangereux.

[Je fais actionner Springtrap également dans la réponse.]

La gardienne regarda alors les couloirs, à présent calme. Dire qu'il n'y a même pas 30 minutes tout avait dégénéré. Elle haussa les épaules sans ajouter de plus puis vit soudainement Mike se rapprocher de Springtrap qui commençait à partir. Il le rattrapa et essaya de poser son chapeau sur le lapin délabré qui semblait être assez surpris. Pearl pencha la tête, sans rien dire, l'air curieux. Il ajouta "comme promis." La demoiselle sourit en pensant, sans aucun doute que c'était une promesse du gardien à l'animatronic. C'était plutôt touchant de voir cela. Le lapin sourit à son tour. Même si il était assez... verdâtre et décomposé, son sourire était si beau à voir. Comme rassurant, comme si de la chaleur remplie de compassion vint monter. Le lapin le remercia puis assez joyeux et satisfait l'ancienne mascotte les saluas, puis partit en entendant le bruit aigue des secours. Pearl le regarda partir puis sentit quelque chose se poser sur ses épaules. Elle regarda son congénère qui lui avait refilé sa chemise. C'est vrai qu'être à moitié à découvert dans cet endroit, avec le froid et la politesse, c'était pas agréable. Elle le remercia puis le suivit pour aller près d'Alexandre. Les secours examinèrent la plaie et attirés par l'histoire et la curiosité, ils posèrent la question maudite. Pearl gloussa, elle ne voulait pas dénoncer SpringBonnie. Elle serra sa peluche, en baissant les oreilles, espérant que ses camarades comprennent. Sa pensée fut entendue, Mike inventa une histoire. La gardienne se contenta de hocher la tête, nulle pour les mensonges. La demoiselle regarda la scène, puis, se détourna.

- Bon je retourne aux offices, il fait un peu froid ici... et de plus que y'a des robots à surveiller et à câliner là bas !

Elle sourit une dernière fois.

- Merci vous deux de m'avoir encadrée durant cette... attaque. Et Bonne chance Alex !